L'esclave d'une gynarchiste 3

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans

Un roman BDSM gynarchiste qui mérite le détour pour tout soumis désireux de réellement comprendre le sens du mot esclave

Le dressage...

Pierre, se remémora les évènements . Il comprenait un peu mieux les agissements de Madame Éloïse, et se souvenait maintenant que son ex-conjointe , depuis quelque temps déjà se comportait d'étrange manière. Comme si elle préparait son expulsion et qu'elle avait prémédité ses agissements. Cela lui parût d'autant plus évident, depuis que Madame Éloïse lui avait brièvement mentionné qu'elle semblait l'avoir préalablement choisi.

Il était presque certain que la rencontre dans le parc n'était pas le fruit d'un pur hasard. Les circonstances mêmes de sa prise de bec avec son ex-conjointe, lui semblaient maintenant avoir été planifiées à l'avance. Et comme cette dernière connaissait bien ses habitudes , elle savait qu'il se retrouverait au parc, après une telle déception. Sûrement que Madame Éloïse et son ex, avaient préalablement organisé sa sortie.

Et par la suite rien n'avait été plus facile pour Madame Éloïse de le rencontrer, et de le kidnapper à sa manière.

Dans la situation présente, il se devait de se soumettre, à cette femme, car il comprenait très bien qu'elle n'aurait de répit que lorsqu'il serait totalement soumis et obéissant.

Tout depuis hier avait basculé, sa vie, ses sentiments, son travail. Il venait de plonger dans une autre dimension, Et il se sentait perdu et incapable de prendre la moindre initiative pour le moment. La situation présente venait de balayer d'un coup, tous ses vieux concepts. Son esprit fatigué et son corps exténué , l'incitaient au sommeil, et il tenta de se trouver une position plus ou moins confortable, et après un bref instant , il tomba dans un profond sommeil.

Un fracas infernal et de violentes secousses le réveillèrent en sursaut. La lumière crue, le bruit que faisait Madame Éloïse en martelant avec un bâton de fer la cage où il était confiné , le firent s'éveiller brusquement.

Il demeura apeuré pour un instant, mais peu à peu il sortit de sa torpeur, pour entendre Madame Éloïse lui parler en ces termes. Frankie l'accompagnait et ce fût elle qui la première ouvrit la serrure principale. Puis Maîtresse Éloïse dit à Frankie, "tu peux y aller maintenant , je vais m'en occuper."

Frankie quitta le donjon et Madame Éloïse lui dit d'une voix sans réplique.

" Debout la dedans ", ordonna-t-elle. Il la vit à travers les barreaux de la cage. Elle portait des bottillons de suède aux pieds et elle s'était revêtu d'une courte robe de chambre rouge en satin, et d'une petite culotte coordonnée au teddy de la même couleur. Ses longues jambes bronzées étaient très belles et cela faisait très érotique de la voir ainsi, Mais Pierre lui , était transi de peur, car il savait que cette dernière allait débuter son dressage aujourd'hui, et déjà il entrevoyait que la journée serait très difficile et que Madame serait des plus exigeante.

" Pour débuter , je vais t'expliquer, certaines choses importantes . Tu m'écoutes et tu te tais, ceci est la première des choses."

" Ensuite, lorsque tu désires m'adresser la parole, tu commenceras toujours par m'appeler Maîtresse, et ce à chaque phrase qui sortira de ta bouche."

" Jamais tu ne devras me regarder dans les yeux, je ne tolère pas qu'un esclave lève le regard sur moi."

"Enfin , tu obéis à la lettre à tous mes ordres, et tu apprends. Puis tu te fais un devoir de bien te rappeler tous mes désirs et de les exécuter parfaitement et sans discuter."

"Maintenant tu vas sortir de ta cage,et aller t'étendre sur le dos, sur le lit que tu vois là-bas. "

Pierre sortit à reculons de la cage et fit ce que Madame lui avait ordonné. Elle s'approcha de lui, et lui écarta les bras et les jambes puis lui passa des bracelets de cuir à chacun de ses poignets et en installa des identiques aux chevilles. Ensuite elle fixa avec des anneaux et une attache conçue à cet effet, ses quatre membres , aux quatre coins de la table.

Elle partit quelques instants dans l'autre pièce, celle ou elle gardait les équipements, et elle revint avec un plateau à la main et divers petits objets qu'elle déposa sur une table près de lui. Puis elle alla dans la salle de bain et ramena une bassine remplie d'eau chaude. Elle sortit un rasoir d'un étui, et mélangea un peu de crème à raser dans un plat de céramique blanche et prit un blaireau puis lui en badigeonna l'intérieur des cuisses, le sexe et le bas-ventre. Elle saisit son sexe dans sa main et lui rasa tout le pourtour du pénis. Elle poursuivit ainsi le travail sur tout son corps.

Puis elle le détacha et lui dit de se retourner sur le ventre. Elle lui fixa de nouveau ses liens et continua à le raser totalement , des pieds à la tête.

"Y à-t-il quelque chose de plus laid qu'un corps couvert de poils. Je déteste cela, et à partir de maintenant, je veux que tu conserve ton corps toujours rasé ainsi, et surtout ne m'arrive jamais avec une peau qui pique. Je veux que tu sois toujours rasé de très près. " "Sinon tu vas le regretter amèrement. "

Pierre avait soudain très froid. Pour la toute première fois de sa vie, il ne portait plus sa toison d'homme. Non pas que cela fût douloureux, mais cela le gênait et l'humiliait terriblement . Se sentir ainsi ,son sexe complètement dégarni , le frustrait de sa virilité naturelle. Il avait la sensation d'être soudain devenu autre chose qu'un homme.

Elle le laissa reposer ainsi près d'une demi-heure , puis le libéra de ses liens pour mieux lui en imposer d'autres, plus solides.

A chaque extrémités, elle lui passa des bracelets de métal, qui fermaient sur eux-mêmes avec une serrure incorporée au bracelet, puis elle lui mit une chaîne entre ses deux chevilles , qui ne lui permettait de marcher qu'à petits pas. Puis , elle lui entoura la taille avec un ceinturon de cuir, qu'elle serra fortement derrière son dos, et prit les menottes de ses poignets et les fixa de chaque coté de sa taille , à des anneaux ancrés dans le ceinturon avec de petits cadenas. Elle lui remit une laisse à son collier, et le força à la suivre derrière elle jusqu'au rez de chaussée.

Arrivé à l'étage, elle cadenassa sa laisse près de la porte d'entrée, à un anneau disposé à cet effet sur le mur, et elle le quitta pour monter à l'étage. Il demeura ainsi jusqu'à ce que la sonnette de l'entrée ne tinte. Il entendit Maîtresse Éloïse crier, "entrez". La porte s'ouvrit et Frankie accompagnée d'une femme et de deux hommes entrèrent. Tous le scrutèrent attentivement, et un des deux hommes dit à Frankie, "il est bien monté , un peu mou peut-être, mais avec de l'exercice, tu pourras en tirer quelque chose.

La femme qui les accompagnait fit le tour par derrière et lui tapota un peu les fesses, puis passa une main inquisitrice dans la sa raie, et avec son doigt elle le pénétra par derrière soudainement. Pierre sursauta et laissa échapper un petit cri de douleur. Mais sur le fait, il vit Madame Éloïse qui descendait l'escalier, et il se retint de protester. Les quatre convives se retournèrent, et Madame Éloïse dit, "bonjour Frankie, salut Murielle, comment ça va les gars ? , comment trouvez vous le futur esclave de Frankie ?"

"Cela semble acceptable," dit l'un des deux gars.

"Moi je le trouve trop maigrichon," dit Murielle .

"Et toi Jack , qu'en penses-tu?" demanda Maîtresse Éloïse.

"Hé bien, je pense que tu pourra en tirer quelque chose de potable, on verra bien. Dans un mois ou deux, s'il apprend bien et si tu t'y prends bien , tu pourras sûrement le dresser pour qu'il plaise à Frankie." "C'est bien mon intention," répondit Maîtresse Éloïse.

" Bon si on passait au salon", dit Frankie,

" Je te suis " dit Murielle. "Mais on ne restera pas longtemps, car j'ai beaucoup de chose à faire aujourd'hui."

Frankie détacha la laisse de Pierre, et le tira derrière elle jusqu'au salon. Les convives s'asseyaient et Madame Éloïse leur offrit de prendre un café en sa compagnie.

Elle prit la laisse de Pierre , et l'amena avec elle à la cuisine. Elle prépara un cabaret et des tasses ainsi que le lait le sucre et déposa le tout sur le cabaret. Puis elle dit à Pierre, "tu vas nous servir le café, et gare à tes fesses si tu renverse quoi que ce soit."

Les deux mains de Pierre, enchaînées autour de sa taille au ceinturon, pouvaient tenir le cabaret. En effet , Madame Éloïse lui avait laissé juste assez de jeu entre le bracelet de ses poignets et le ceinturon, pour qu'il puisse utiliser ses mains à cet effet. Par contre, il ne pouvait toucher ses deux mains ensemble, et il devait se concentrer pour ne pas renverser le cabaret contenant les tasses de café , et il ne pouvait non plus avancer à pas normal, à cause de la chaîne entre ses deux chevilles.

Elle le dirigea vers le salon, et il dût distribuer les cafés aux invités. Lorsqu'il eut terminer sa tournée, et que chacun des invités fut servis, Maîtresse Éloïse lui dit de déposer le cabaret, et venir s'agenouiller devant elle et de lui embrasser les pieds. Il s'exécuta, comme elle lui avait ordonné , et ensuite il dut aller se prosterner devant chacun des invités et embrasser les chaussures de chacun et chacune à tour de rôle.

C'était la première fois de sa vie qu'il devait s'humilier de la sorte. Et pour être certaine que Frankie et ses amis voient combien il était soumis, il dût se coucher sur le dos à même le plancher , relever ses jambes, en écartant les cuisses et en retenant ses genoux avec ses mains et leur présenter son sexe et tenir cette position tout au long de la discussion. Tous pouvaient le regarder et le voir sans retenue.

Son corps glabre et son sexe ainsi exposé à la vue de tous, le maintenait humilié et soumis. Maintenir cette position et ne pas pouvoir se cacher des regards achevait de saper sa résistance et enseignait à son esprit à se soumettre et à se rendre disponible en tout temps pour plaire à sa nouvelle Maîtresse. Les invités se levèrent et s'embrassèrent mutuellement, puis quittèrent les lieux. Pierre ne bougea pas , attendant les ordres de Madame Éloïse.

" Tu peux te relever maintenant ",lui dit-elle, "ramasse les assiettes et le cabaret et va les porter à la cuisine. "

Pierre s'exécuta, et Maîtresse Éloïse le fit redescendre au donjon, et l'enchaina à un poteau par sa laisse.

Il devait se tenir debout, car elle avait attaché la laisse au-dessus de sa tête, et ne lui avait laissé que le jeu nécessaire pour qu'il puisse fléchir un peu les genoux. Elle remonta et le laissa seul . Elle ferma la lumière et Pierre entendit fermer la porte.

Combien de temps dura l'attente. il ne pouvait en juger, car la noirceur était totale dans le donjon. Peu à peu ses yeux s'habituèrent à la noirceur, et il essaya sans grands espoirs de se libérer de ses chaines , mais c'était peine perdue.

Quelques heures plus tard , Maîtresse Éloïse revint le chercher. Elle s'était habillée autrement. Une combinaison de latex noire, la revêtait de la tête au pieds, et elle portait une sandale ouverte avec des lanières de cuir qui lui laissait le pied découvert. une semelle surélevée de près de 5 cms la grandissait encore plus surtout que les talons de la sandale devait avoir près de 12 cms de hauteur.

Elle avait un corps superbe, et fière allure , dans cet accoutrement. Et elle imposait vraiment le respect. Elle vint vers lui et se tenant ainsi debout devant lui, elle le dépassait presque d'une tête. Il dût baisser le regard, car il comprit qu'il aurait à subir ses foudres s'il osait la regarder . Elle le détacha et l'amena à un chevalet, et elle le força à se pencher par dessus. Elle lui enleva la chaîne d'entre ses chevilles et lui intima l'ordre d'écarter largement les jambes. Puis elle lui fixa les chevilles solidement arrimées à chacun des pieds du chevalet.

Ensuite elle libéra ses poignets et les fixa de la même manière aux pieds avant du chevalet. Il ne pouvait se redresser. et ainsi plié en deux sur le chevalet , son postérieur relevé s'offrait à tous les sévices.

Madame Éloïse se rendit ensuite dans la pièce ou elle entreposait ses instruments, et revint après quelque minutes .Un fouet avec plusieurs lanières dans une main , et une grande palette de bois dans l'autre, de plus elle s'était installé une ceinture à la taille qui retenait sur son bas ventre un gros gode de caoutchouc noir , qui lui faisait comme un immense pénis entre ses deux jambes. Ce sexe factice était retenu à la ceinture qu'elle portait. Elle s'approcha de Pierre , et se positionna devant lui, puis de sa voix la plus autoritaire, elle lui ordonna d'ouvrir la bouche.

"Suce bien mon gode ", dit-elle, "car je vais te l'enfoncer dans le cul tout à l'heure et si tu ne l'as pas assez bien humecté, cela pourrait te faire très mal." Et sans plus attendre , elle l'enfourna dans la bouche de Pierre, qui se retrouva complètement étouffé par la grosseur de l'engin. Elle laissa à Pierre le temps de bien mouiller toute la surface du gode avec sa salive, et le fit glisser d'avant en arrière dans sa bouche en le poussant profondément à chaque fois dans sa gorge et ce ,à plusieurs reprises. À plusieurs fois Pierre faillit s'étouffer. Mais Maîtresse Éloïse était sans merci. Elle le tenait fermement de sa main gantée par les cheveux, et il n'avait d'autre choix que de faire ce que Madame Éloïse lui avait ordonné.

" Bon ça suffit ", dit-elle, "passons maintenant aux choses sérieuses."

Elle passa derrière le chevalet, et positionna le bout gode bien appuyé sur la rondelle de son anus, et Pierre sentit entrer en lui l'engin. Son cul s'ouvrit et pour être certaine qu'il le prendrait en entier, elle lui écarta les fesses avec ses deux mains.

Il poussa un râle de douleur quand , d'un coup sec elle poussa avec son bassin l'engin dans son intérieur. Puis avec fermeté elle le saisit à deux mains par les hanches et elle débuta un mouvement de va et viens. Le gode entrait en lui avec difficulté , mais au fur et à mesure que Madame s'échauffait, cela devint plus facile. Il sentait glisser l'engin dans son fondement, et peu à peu cela provoqua en lui une excitation, que jamais il n'aurait soupçonné possible venant de son anus. Plus Madame se trémoussait et plus Pierre devenait sensible. Mais la douleur aussi se faisait plus intense, à un point tel que des cris jaillirent bientôt de sa bouche.

Mais Madame ne cessa pas pour autant de le pilonner. Ce fût seulement lorsqu'elle eut prit son plaisir qu'elle se retira de son anus maintenant béant. Elle prit le temps de souffler un peu, et elle lui tapota un peu les fesses. Une douleur intense persistait malgré tout en lui. Elle revint devant lui et lui reprenant les cheveux à pleine main, elle lui releva la tête, elle lui dit, " tu vas me nettoyer cela maintenant, bien à fond." Elle approcha le gode de la bouche de Pierre, et il lui dit , en détournant la tête, " non Madame je ne peux pas, je me refuse à cela". " C'est trop dégueulasse, je refuse de faire cela."

"On se rebelle , à ce que je vois." dit-elle.

"Hé bien , c'est ce qu 'on va voir!"

Elle saisit son fouet et alla derrière Pierre, et lui administra quelques bon coups durement appliqués. Pierre essaya d'éviter les coups, mais il ne pouvait bouger. aussi ressentit-il chacun des coups , et il hurla de douleur. Elle revint devant lui, et dit,"alors, as tu décidé de m'obéir?"

Voyant qu'il ne voulait pas ouvrir la bouche, Elle recommença à le fouetter, mais cette fois elle ne prit pas ses gants blancs. Elle frappait de toutes ses forces , et bientôt le cul de Pierre, devint tout boursouflé sous la morsure des lanières dans sa chair. Elle prenait un malin plaisir à viser ses couilles , son pénis et à frapper entre la raie de ses deux fesses. Pierre qui au début essayait de résister, se tordait maintenant de douleur, et se mit à crier, et à la supplier d'arrêter.

Madame de sa voix sévère lui dit, "vas tu le sucer , espèce de salope, je vais te montrer moi à refuser un ordre! Lorsque je donne un ordre j'entends bien qu il soit exécuté, si tu pense que tu vas me tenir tête , mon sale chien, , tu te trompes lourdement." Pierre pleurait à chaudes larmes, et suppliait toujours Madame Éloïse d'arrêter, et elle cessa enfin de le frapper. Elle se plaça debout devant lui, et approcha le gode de ses lèvres, et Pierre qui voulait que cesse ce supplice, ouvrit largement la bouche pour nettoyer le gode comme elle lui avait ordonné. Il ferma les yeux, pour ne pas voir les résidus de merdes qui maculaient la surface de l'engin, l'odeur était exécrable,et déjà il en appréhendait le gôut.

Mais Madame Éloïse lui dit alors, " tu veux le manger maintenant n'est ce pas, petit minable."

" Oui Madame", répondit -il.

" Alors demande moi la permission, de le faire et poliment , je te le conseille."

"Vite "dit-elle, "ça refroidit, et je ne suis pas patiente."

Pierre se souvint des règlements à suivre, et d'une voix humble et soumise, il demanda.

"Maîtresse Éloïse, me permettriez vous de nettoyer le gode que vous portez fièrement devant vous, car je suis votre esclave, ce serait un honneur pour moi de recevoir ce cadeau de votre part. "

"Pour une première fois je tolère ton imbécillité , et j'espère que cela ne se reproduira plus." "Vas-y nettoie moi cela maintenant, et ne laisse rien traîner."

Pierre se ferma de nouveau les yeux, , mais la Maîtresse lui dit, " non , ouvre les yeux, je veux que tu vois ce que tu avale, et je veux être certaine que tu nettoies à fond toutes tes merdes. "

Son derrière en feu lui rappelait d'obéir, et c'est avec courage qu'il nettoya l'engin. Le coeur sur le bord des lèvres, il combattait les nausées qui montaient en lui, et il parvint à tout nettoyer sans devoir régurgiter devant sa Maîtresse. Lorsqu'il eût terminé, Maîtresse Éloïse , se retira et elle revint avec une serviette et lui nettoya le visage. Il lui semblait que l'odeur de merde se soit imprégnée en lui, dans ses cheveux, son haleine, et cela lui remontait constamment aux narines. Elle le détacha du chevalet, et l'amena avec elle près de la grande armoire, qu'elle ouvrit, et elle en sortit, un petite robe noire, des bas de soie, une paire d'escarpin, et un petit tablier de dentelle.

Puis elle lui dit, " tu vas m'enfiler tout cela, et fais cela rapidement, car je vais recevoir à souper tout à l'heure, et tu vas devoir faire le service. " Lorsqu'il eut terminé de s'habiller, elle le fit passer à la chambre de bain, et lui maquilla le visage avec un rouge à lèvres , du mascara, de l'ombres à paupières etc ,etc.

" Te voila bien plus belle ainsi, petite salope." Dit-elle. puis elle le ramena devant un miroir, et ajusta le tablier autour de sa taille, et lui dit de la suivre à nouveau.

La courte robe de servante laissait entrevoir son pénis qui pendouillait entre ses deux jambes, et comme pour la première fois de sa vie il marchait sur des escarpins à talons, sa démarche était quelque peu chancelante. Son cul toujours boursouflé par le fouet , demeurait sensible, et à chaque mouvement , une douleur lancinante irradiait ses fesses. Surtout que la courte jupette, qui ne recouvrait que la partie supérieure de ses reins laissait entrevoir les nombreuses zébrures du fouet sur son derrière.

Elle lui enleva le collier qu'il portait depuis la veille autour de son cou, et elle le remplaça par un autre tout en cuir, mais beaucoup plus large que le précédent. Ce dernier l'obligeait à garder le cou très droit, et lui maintenait le menton levé très haut, , il ne pouvait plus baisser la tête, ni même la tourner de coté.

Un gros anneau de métal se balançait sur le devant du collier, et elle y fixa une clochette . Ainsi à chacun de ses mouvements, la clochette annonçait sa présence. Elle lui remit la chaîne entre ses chevilles, et elle lui enchaîna le poignets à une autre chaîne qui se reliait à celle de ses chevilles. Cependant cette dernière lui laissait suffisamment de liberté pour pouvoir écarter les bras, et pour manipuler tout ce qu'il voulait. Mais sans toutefois pouvoir relever ses mains plus haut que ses hanches.

Et c'est ainsi harnaché qu'il suivit Maîtresse Éloïse à la cuisine, pour lui servir le souper.

Un souper rituel....

Maîtresse Éloïse, lui expliqua la marche à suivre et la façon dont elle voulait qu'il effectue le service du repas.

-Il ne devait sous aucunes considérations, adresser la paroles aux convives.

-Il ne devait pas non plus rester en leur présence à moins qu'un des convives ne lui demande une faveur ou ne lui en donne l'ordre.

-Jamais il ne devait interrompre la conversation pour effectuer le service de table.

-Cependant il devait être en permanence aux aguets pour prévoir tous les petits détails concernant les besoins des convives.

-Il devait agir silencieusement, avec promptitude, et délicatesse pour ne pas déranger.

-Il verrait à servir les couverts, à desservir, à voir à ce que les assiettes ne traînent pas, que les cendriers soient toujours d'une propreté impeccable, à servir le vin, à nettoyer les restants du repas, et à laver la vaisselle, sitôt le repas terminé.

-De plus , dès que les invités passeraient au salon,il devra une fois son travail terminé , aller se poster, près du seuil du salon, et s'agenouiller, le derrière bien en évidence, face contre le sol, et sans bouger,de façon à bien montrer à tous les traces de fouets sur ses fesses , et attendre ainsi de recevoir ses ordres.

Les invités arrivèrent un à un, et Frankie fût la première à arriver. Elle s'était revêtu , d'une grande cape noire, elle portait de grandes bottes de cuir, lacées sur le devant, jusqu'à mi-cuisse, et sous la cape qu'elle enleva à son arrivée, elle portait un bustier de cuir rouge, un corset lacé et qui lui comprimait la taille très esthétiquement, ainsi qu'une jupe de cuir lustré noire.

Pierre qui la voyait pour la première fois en tenue de dominatrice, put apprécier sa grande beauté ainsi que la parfaite harmonie de son corps. Bien qu'elle ne soit pas très grande, elle en imposait quand même par la prestance de sa démarche féline.

Maîtresse Éloïse lui remit la laisse de Pierre, en main propre, et lui dit, " il est à toi, je lui ai indiqué ce qu'il devait faire, et comment il devait se comporter, et il devrait te satisfaire."

"J 'ai tenu compte de tes exigences, et je crois qu'il à bien compris." "J'espère qu'il sera à la hauteur. "

"Maintenant je vais m'occuper des invités ." "Amène le à la cuisine et montre lui ce qu'il doit servir, et ou sont les assiettes , et tout ce qu 'il doit connaître de la maison, pour pouvoir nous servir."

Pendant que les convives arrivaient, Frankie, indiqua à Pierre, les ustensiles, les assiettes, et ce qu'il devait servir aux invités et dans quel ordre le faire. Puis elle lui demanda de se pencher et de lui montrer les marques de fouets sur ses fesses. Elle passa sa main tout doucement sur son postérieur, et lui dit, " je suis contente que tu portes des marques , cela me rend fier de toi." " Je veux que tu saches que dorénavant il se peut que tu aies à subir le fouet de ma main, et comme je ne suis pas aussi experte que mon amie, je vais devoir me pratiquer un peu plus souvent, mais je suis une bonne élève, et Maîtresse Éloïse m'as dit que j'apprenais vite."

"Mais plus tu seras obéissant, moins j'aurai à me pratiquer, cependant , contrairement à Éloïse, j'ai un très mauvais caractère, et je ne sais pas me contrôler comme elle." " Aussi il te faut savoir que je me fâche beaucoup trop souvent, c'est pourquoi j'ai demandé à mon amie de te former pour commencer, car je n'ai pas une grande patience comme cette dernière."

"Mais je pense que tu feras un bon esclave, et que le choix de Madame Éloïse s'est avéré un choix judicieux." " Aussi je veux que tu sois parfait ce soir, car je tiens à ce que les invités de Madame soient contents de leur soirée. "

" Donc il n'en tient qu'à toi de prouver aux yeux de tous, que tu mérites de me servir"

" Et je te suggère fortement de faire de ton mieux, car je suis très exigeante envers mes esclaves, et il vaut mieux m'obéir , car cela fait souvent très mal de mal me servir."

" Allez maintenant, tu sais ce que tu dois faire."

Le souper se termina tard dans la soirée, et Pierre semblait se débrouiller très bien, jusque là, mais un des invités qui avait un peu trop bu, voulût se lever pour aller au toilettes, et ne vit pas Pierre qui arrivait avec un verre de vin à chaque main pour les servir. En se levant, l'homme trébucha et tomba entre les chaines que Pierre avait entre ses poignets, Pierre même après de vains efforts pour ne pas tomber, ne réussit pas cependant à conserver son équilibre , et il renversa les verres de vin sur une des invitées.

Aussitôt, Maîtresse Frankie se leva d'un bon, et marcha vers lui le visage décomposé par la colère. Mais Madame Éloïse , qui se trouvait assise à sa droite, la retint par le bras, et lui dit, " non Frankie, ce n'est pas de sa faute, laisse le nettoyer, et après on verra à le punir, tu dois le punir , c'est vrai, mais pas maintenant ."

Pierre qui venait de se relever,était encore tremblant de peur, il venait de voir à quel point Maîtresse Frankie, pouvait se fâcher et la rapidité avec laquelle, elle avait réagi, cela lui fit prendre conscience du travail qu 'il aurait à faire pour satisfaire une telle femme.

La soirée se termina sur une note joyeuse pour les invités, quand Madame Éloïse fit passer Pierre au salon, et qu'elle lui intima l'ordre de danser pour ses invités. Il dut monter sur un banc et se dandiner langoureusement, pour ensuite, aller remercier tous les invités de leur patience à son endroit, en leur embrassant les pieds à tour de rôle, et en se prosternant devant eux.

Lorsque tous furent partis, Maîtresse Frankie, le descendit au donjon, et avec des gestes brusques, elle le déshabilla, lui enleva ses chaînes, pour ensuite lui mettre le cou et les poignets bien enfermés dans un carcan de bois monté sur un socle, puis elle lui intima l'ordre d'écarter les jambes . Elle lui passa des chaînes aux bracelets de ses chevilles, et les fixa de chaque coté du socle , très largement écartelé. Puis sans un mot, elle lui entra un bâillon dans la bouche qu'elle boucla derrière sa nuque.

Il la vit prendre une baguette de bois souple, qu'elle replia à maintes reprise comme pour s'assurer de sa souplesse et de son efficacité, puis passant derrière son esclave, elle le frappa douloureusement sur les reins. Pierre qui ne pouvait crier, émis un faible râlement profond et sourd, quand arriva le deuxième coup, il en ressentit la brûlure intense et se tordit de douleur .À chaque venue, un sifflement fendait les airs, et une violente douleur lui traversait le corps. Elle ne savait pas se retenir, et Pierre faillit perdre conscience tant la douleur était intolérable. Quand Maîtresse Éloïse descendit l'escalier, et vit Maîtresse Frankie lui administrer cette sévère correction, elle lui dit,

" calme toi Frankie, tu ne dois pas le tuer non plus."

" Regarde je te montre, " elle prit la canne de jonc, et Pierre entendit un très léger sifflement, et soudain une douleur très intense se fit ressentir, sur sa fesse droite, il aurait voulu hurler, mais le bâillon l'en empêchait. Encore un fois le petit sifflement se fit entendre, et cette fois l'autre fesse reçût cet ultime punition. Pierre n'avait jamais ressenti quelque chose d'aussi atroce. Après une dizaine de coups bien appliqués, elle dit à Frankie, "délivre-le maintenant, car il vas tomber dans les pommes si je continue."

En fait , Pierre avait déjà perdu conscience. Et Maîtresse Éloïse dut le ranimer, pour le faire entrer dans sa cage. Elle lui enleva son bâillon, et lui passa sur la tête une cagoule sans aucunes ouverture, elle dit à Frankie, lace la lui bien solidement, et ferme la avec un cadenas, et assure toi qu'il puisse cependant respirer. Deux petits trous au niveau des narines permettait à celui qui la portait , de respirer, et un bâillon bien monté à l'intérieur de la cagoule, entrait profondément dans la bouche du porteur et empêchait que celui-ci n'émette le moindre son.

" Voila" dit Frankie, c'est fait. "Bien maintenant entre dans ta cage esclave, et donne tes mains que je te passe les menottes."

Pierre fut à nouveau menotté dans la cage, à l'anneau du plancher, et la porte se referma derrière lui. Il entendit tourner la clef de Maîtresse Frankie et Maîtresse Éloïse referma l'autre serrure à numéros, cela fit un "clic" lorsque la serrure se referma, puis le deux femmes, marchèrent toutes les deux vers l'escalier, puis le bruit cessa. Son corps couvert d'ecchymoses le faisait souffrir atrocement, et il ne put trouver le sommeil immédiatement. mais finalement la fatigue , la douleur, le stress et la peur avait eu raison de sa résistance, et il s'endormit recroquevillé. sur lui même au fond de la cage.

Le corps à l'honneur....

Maîtresse Frankie et Madame Éloïse , vinrent le libérer de sa cage, tard dans l'avant-midi. Elles portaient toutes deux des vêtements de ville, et dirent à Pierre, qu'elle songeaient à sortir ensemble pour aller faire des courses. Son corps encore sensible et son postérieur surtout, lui rappelait la fouettée d'hier soir. Certainement que pour quelques jours encore, il n'oserait plus s'asseoir, et c'est avec précautions qu'il recula de l'espace restreint de sa cage, pour ne pas toucher aux parois de celle-ci.

Maîtresse Frankie lui ordonna de se dépêcher, car elle n'avait pas de temps à perdre .

On lui enleva sa cagoule, et Madame Éloïse menotta ses mains derrière son dos, puis lui noua une corde autour des coudes , elle fit plusieurs tours , et serra fortement jusqu'à ce que ses coudes se rejoignent et se touchent presque.

Cela fait, elle lui remit le large collier de la veille, et avec une laisse au cou , elle lui dit, " tu vas monter avec nous, et passer à la chambre de toilette, pour te laver, ta Maîtresse à fait le nécessaire, et elle à acheté ce qu'il faut pour te garder propre. "

Il suivit la femme et elle le fit monter avec elle au premier étage et fit couler la bain. Elle défit son collier de son cou, libéra ses coudes, et défit une des menottes, . Ensuite, elle menotta sa main gauche à un tuyau posé sur le mur du bain ou il devait prendre sa douche, comme ceux utilisés pour les personnes handicapées, elle lui donna une brosse à dents, un savon, du shampoing et une débarbouillette.

"Voila ,"dit-elle lave -toi, et n'utilise pas trop d'eau chaude, je reviendrai te chercher."

Le jet de la douche lui fit le plus grand bien , surtout sur son dos et sur les boursouflures de ses fesses, bien que douloureuses à l'extrême , cela soulagea ses douleurs. De plus le jet puissant et tiède le relaxait et il avait l'impression de se laver de tous les affronts vécus depuis quelques jours. Il se lava le visage longuement pour enlever toutes les traces de maquillages, et il se nettoya à fond la bouche et les dents car il avait toujours le goût de sa merde qui lui revenait constamment. Maîtresse Éloïse vint le chercher, et avant de passer à autres choses, elle le fit s'agenouiller, et prit dans la pharmacie, un pot de crème, et lui en appliqua délicatement sur ses blessures.

"Cela vas aider à cicatriser tes plaies ,"dit-elle.

Elle le libéra de sa position, et lui remit le collier, lui rattacha à nouveau les coudes derrière le dos, et lui remit les menottes au poignets. Ils descendirent tous deux au rez de chaussée, et elle le fit attendre à la cuisine.

" Tu dois avoir faim, " dit-elle," aussi je t'ai préparé une collation."

Dans un plat sur le sol, Pierre vit une pâtée poisseuse. Elle le fit approcher de la gamelle, et dit, " mange esclave , car ce sera tout ce que tu auras pour aujourd'hui." Il s'agenouilla , courba l'échine et approcha son visage de la gamelle. Cela ne lui plaisait pas , ni par l'odeur ni par la couleur et ni par la consistance. On aurait dit de la nourriture pour bébé.

"Allez", dit Madame Éloïse, "je n'ai pas toute la journée". Pierre dut manger le contenu du plat en silence et terminer entièrement sa pâtée. Pendant ce temps Maîtresse Frankie arrivait à la cuisine. Prépare lui donc un bol avec de l'eau ma chérie, dit Madame Éloïse à Frankie.

Elle déposa l'eau près de sa gamelle, et Pierre dut lapper le breuvage comme le font les chiens.

" Il est temps de partir", dit Frankie.

" Je sais", répondit son amie, " fait démarrer l'auto, je vais arriver dans un instant, juste le temps de l'installer confortablement dans le donjon.

Pierre la suivit, au donjon, et elle le fit se coucher sur le sol et alla préparer des chaînes pour les lui passer aux pieds.

Il dut écarter largement les jambes, alors elle lui enfonça un gros gode dans l'anus, qui était retenu par une ceinture autour de sa taille. Ensuite elle le fit se pencher le torse en avant et passa une longue chaîne à ses menottes derrière son dos, puis elle fixa cette chaîne à un treuil, et tourna une manivelle qui actionnait le treuil et les bras et les poignets de Pierre furent tirés vers le plafond. Il se sentit soulevé et bientôt, c'est à peine si ses pieds touchaient le sol. Cela était très inconfortable comme position. Ensuite elle lui ouvrit la bouche, et lui entra un bâillon de caoutchouc à l'intérieur. Un petit tuyau en ornait le devant, et une petite pompe pendait au bout de ce tuyau. Une fois le bâillon bien installé , elle pressa la pompe à plusieurs reprises, et Pierre sentit grossir le bâillon dans sa bouche. Elle pompa jusqu'à ce que le bâillon emplisse complètement sa bouche et ses joues. Cela lui faisait mal aux mâchoires tant la pression exercée était grande. L'attache derrière sa nuque l'empêchait de recracher le bâillon, et il ne pouvait plus émettre le moindre son.

Elle lui fixa un bandeau sur les yeux , et elle quitta la pièce, en le laissant ainsi presque suspendu au plafond. En quittant elle lui dit, " ce soir à mon retour , je vais te montrer comment tu dois faire plaisir à une Maîtresse, soit tranquille, et sutout concentre toi bien sur ce que je viens de te dire". " On devrait être de retour après le souper".

Puis elle s'en alla. De nouveau Pierre entendit fermer la porte du donjon, et il resta ainsi suspendu pour tout l'après-midi au plafond du donjon. Il eut tout le temps nécessaire pour réfléchir à sa nouvelle situation. Il essaya de se libérer de ses liens , mais ce fut en vain. Les menottes étaient très solides, et comme il ne portait que sur la pointe de ses pieds, il devait se concentrer pour garder son équilibre. Le gode enfoui au fond de son cul le faisait souffrir, car il lui écartelait l'anus et entrait en lui très profondément. Il se sentait ,comme violé par derrière.

L'attente lui parût durer des jours, et il devenait de plus en plus éreinté par sa position, et ses jambes commentaient à flageoler sous lui. Pierre entendit marcher, mais personne ne vint le libérer. Dans la soirée, Madame Éloïse , vint le chercher. Il monta derrière elle, jusqu'à la chambre à coucher de Madame. Elle délia la corde qui nouait ses coudes, lui enleva ses menottes, et elle le fit coucher au pied du lit. Elle s'essaya sur le bord du lit, jambes écartées, et lui intima de venir lui lécher la vulve. Il s'approcha, et enfouit sa tête entre les deux jambes de Madame Éloïse, et commença à la lécher.

" Hé! Vas-y doucement". Dit-elle . Elle le prit par les cheveux, et guida sa tête , jusqu'à son entre-jambes, et Pierre entra sa langue en elle, pour la sucer.

" Pointe la langue, pour que je la sente bien travailler".

" Vas-y profondément", tu ne vas pas y passer la veillée j'espère " .

Pierre faisait de son mieux, et cela porta ses fruits. Madame Éloïse, se mit à se trémousser et à se tortiller sous les coups de langue de Pierre. Elle haletait bruyamment, et dans un grand cri , elle eut en premier orgasme. Pierre continua à sucer et lécher , et Madame Éloïse repartit encore une deuxième fois. Il avait la tête prise comme dans un étau , les cuisses puissantes de sa Maîtresse lui enserrait le cou et il parvenait à peine à respirer.

Elle relâcha les cheveux de Pierre, elle se retourna, et lui présenta ses fesses. "Lèche mon cul maintenant, et entre ta langue, bien au fond". Elle avait un cul magnifique, et Pierre se montra compétent une nouvelle fois. Madame Éloïse qui se masturbait maintenant pendant que Pierre honorait son fondement, eut encore un orgasme, dans un grand râle de jouissance.

Pierre continuait de la lécher , mais elle s'avança sur le lit, et referma finalement les jambes . Pierre recracha quelques poils et lui aussi retomba sur le plancher. il était recru de fatigue. Madame Éloïse se releva enfin, et elle se rassit sur le bord du lit,.Elle dit,"maintenant tu vas jouir, je vais te masturber, mais je ne veux pas que tu viennes éjaculer sur le plancher, pour que tu salisses tout autour de toi, aussi tu te videras dans cette soucoupe, là ,sur le meuble".

Elle l'encourageait du bout de son pied, elle avait placé son pénis entre ses orteils et le masturbait. Pierre amena son bassin plus près du lit et la main de Madame prit le relais. Elle n'eut pas longtemps à attendre pour que son esclave parvienne à la jouissance. Elle prit la soucoupe et y déposa le sperme chaud de son esclave. Elle se leva, se plaça debout, jambes écartées de chaque coté du corps de Pierre, et dit," à genoux maintenant esclave".

"Tu vas manger ton sperme maintenant, pour me montrer que tu es un bon esclave". Elle lui plaça la soucoupe sous son nez, et Pierre se recula , pour ne pas sentir. Il bégaya quelques mots, et Maîtresse vit qu'il ne voulait pas goûter sa semence.

" Auparavant c'était toi qui demandait aux femmes de te sucer et d'avaler, maintenant c'est à ton tour, tu vas savoir ce que cela goûte , et crois moi, ce n'est pas très bon au goût".

Elle se plaça derrière la nuque de Pierre, s'appuya contre ses épaules, et tenant la tête de son esclave solidement, elle avança la soucoupe près de ses lèvres, puis elle lui mit le nez directement dans la soucoupe. Il pouvait en sentir l'odeur nauséabonde et dans un suprême effort, il lécha le contenu de la soucoupe.

Elle relâcha son étreinte, et lui intima l'ordre de se coucher sur le ventre. Puis elle lui dit, " qu'est ce qu'on dit, quand on reçoit un cadeau ? Remercie ta Maîtresse pour le privilège qu'elle vient de t'accorder".

" Viens ici près de moi, et remercie-moi".

Il marcha sur les genoux, jusqu'au pieds de Madame Éloïse, et baissant la tête, il dit, "Je vous remercie Maîtresse de m'avoir permis de jouir en votre présence".

" Hum! Je pense que tu peux faire mieux que cela. "Je te laisse une seconde chance, je ne ressens pas une grande ferveur, je suis certaine que quelques petits coups de fouets sur les fesses améliorerait ton discours ,qu'en penses-tu?"

" Non Maîtresse, je vous en supplie", dit Pierre.

"Ok alors, vas-y , et réfléchis bien à ce que tu vas dire, car tu n'auras pas d'autres chances".

Les mots se bousculaient dans sa tête, mais il parvint à les articuler décemment, et il dit enfin , "Je vous supplie d'accepter Madame, mes humbles remerciements, pour l'immense honneur que vous avez daigné m'accorder, je vous en suis très reconnaissant, je vous conjure Maîtresse, de ne pas me tenir rigueur de mon incompétence, et je vous assure que dorénavant j'obéirai à tous vos désirs."

" Oui c'est mieux, ce n'est pas encore parfait, mais çà s'est amélioré. J'accepte cela pour ce soir. Tu dois apprendre à développer un langage qui plaît à une Maîtresse, la remercier toujours poliment, et même aller au devant de ses désirs. je dois t'enseigner comment te comporter, et il est impératif que tu apprennes comment parler et répondre aux ordres que Maîtresse Frankie te donneras.

Elle le mena à chambre de toilette, lui lava le visage, et le pénis, puis ils descendirent au donjon. Elle alla s'asseoir dans le fauteuil, sur l'estrade, et le fit se coucher à ses pieds sur le plancher. Elle prit la laisse dans sa main droite, et de l'autre elle lui caressa les cheveux.

Elle chantonnait doucement, et attendait que Maîtresse Frankie revienne. "Demain", dit-elle à Pierre, " je vais te montrer de quelle façon tu dois te tenir lorsque tu es en notre présence, comment placer tes mains, comment t'asseoir, comment marcher, t'agenouiller et te comporter , afin de montrer ta disponibilité et ta soumission. Je sais que tu apprendras tout cela rapidement, et que tu feras de ton mieux, car il vas falloir que tu prouve à Maîtresse Frankie que tu sera obéissant, et je ne voudrais pas qu'elle se fâche à nouveau contre toi". Maîtresse Frankie arriva enfin, et elles le reconduire dans la cage pour la nuit. On lui remit sa cagoule, et la porte se referma derrière lui.

Les rudiments....

Pendant la semaine qui suivit, Pierre dut se pratiquer à s'asseoir, savoir se tenir devant une Maîtresse, comment attendre , et dans quelle position, comment demander quelque chose à une femme , comment marcher, de quelle manière répondre à des ordres, et ce qu'il devait faire pour plaire à une Maîtresse et la servir.

Maîtresse Éloïse savait se montrer patiente, mais parfois, elle devait sévir, car à certains moments le nouvel esclave de Maîtresse Frankie, oubliait de pratiquer et d'appliquer quelques-uns des principes qu'elle tentait de lui inculquer.

Il apprenait aussi à tenir la maison, à servir les repas, à connaître les lieux de la maison et les espaces réservés à ses Maîtresses. Il apprit que chaque matin il devait baiser les pieds de sa Maîtresse, et chaque soir, en signe de soumission, il devait se prosterner devant elle et lui demander pardon pour les erreurs qu'il avait pu commettre dans la journée.

Maîtresse Éloïse, lui appris aussi à préparer le bain, la température de l'eau, les produits qu'elle utilisait pour se laver, de même qu'à nettoyer la toilette , le bain et les lavabos.

Il apprit aussi à s'asseoir sur une cuvette pour uriner, et à nettoyer les souliers et les bottes de ses Maîtresses, avec sa langue et sa bouche.

Tout cela afin qu'il puisse devenir la propriété de Maîtresse Frankie.

Madame Éloïse qui se chargeait de l'éducation de Pierre, faisait tout, et veillait à tout. Quelquefois, Maîtresse Frankie venait le prendre en charge, mais on voyait bien que son esclave, lui importait moins que les nombreux amis avec qui elle sortait continuellement, et Pierre avait pu s'aperçevoir à maintes reprises, que Madame Éloïse, en avait fait le reproche à son amie.

Un soir que Pierre préparait le bain de Madame, il avait entendu cette dernière, parler à Maîtresse Frankie, de manière assez directe. Et il avait entendu la porte claquer. Lorsque Madame Éloïse était revenue le chercher, elle avait le visage tout rouge et ses gestes étaient soudain plus brusques. Elle le redescendit au donjon, et l'enchaîna solidement, jusqu'à ce que Maîtresse Frankie ne revienne pour le coucher dans sa cage.

Tous les jours, il devait honorer Madame Éloïse, et il voyait que celle-ci appréciait les efforts qu'il mettait à la satisfaire. Le lundi de la semaine suivant son entrée au service de Madame Éloïse, Maîtresse Frankie, qui devait revenir pour le sortir de la cage avec Madame, n'arriva pas, et il dut rester enfermer dans la cage jusqu'avant le souper, heure à laquelle Maîtresse Frankie arriva enfin. Elle n'eut pas à descendre au donjon, car Madame Éloïse lui avait réclamé les clefs de la cage, et était venu elle-même libérer Pierre.

Elle le fit monter au salon, en ne lui mettant que des menottes dans le dos comme tout liens, et lui ordonna de s'agenouiller devant elle. Elle se versa un verre, prit place dans son fauteuil, et lui parla en ces termes,

" Je ne sais pas ce que je vais faire de toi, car vois-tu, je pense que mon amie , Maîtresse Frankie, n'est pas encore prête pour posséder un esclave. Elle m'avait demandé de te former, et de faire de toi un esclave exemplaire, mais je crains qu'elle ne soit pas assez sérieuse pour avoir son propre esclave permanent. Cela exige de bien s'en occuper , de pourvoir à tous ses besoins, et surtout à le respecter et à lui prouver que l'on tient à lui et que sa soumission est l'ultime cadeau qu'il fait à sa Maîtresse, parce qu'il l'aime, et qu'il donnerait sa vie pour elle. Et cela elle ne l'a pas encore compris".

"On est plus au temps des romains ou l'esclave ne servait qu'à travailler et ce jusqu'à la mort, une Maîtresse qui se respecte doit aussi être fière de son esclave , et apprécier ce qu'il fait pour elle. Et elle peut parfois le récompenser, pour son bon travail. L'un ne vas pas sans l'autre. Et je crois que ta Maîtresse, ne voit pas encore les choses sous cet angle".

"Selon moi tu mérites une meilleure propriétaire qu'elle et je lui ai dit d'ailleurs. Mais là j'ai maintenant un problème et je ne vois pas comment le résoudre".

"Je ne peux te libérer, car tu pourrais me poursuivre, ou de je ne sais quoi d'autre, et je ne sais pas non plus à qui je pourrais te confier comme esclave, car dans notre petit cercle d'initié, il n'y a pas beaucoup de demande présentement. J'aimerais savoir si tu serais prêt à devenir l'esclave d'un homme, et ce que tu me suggères de faire, car il me resterait cette possibilité, il y a beaucoup de Maîtres qui se cherchent un esclave".

Pierre qui écoutait attentivement, comme elle le lui avait enseigné, dit, "Maîtresse Éloïse, je vous supplie de me prendre à votre service, plutôt que de me donner à un Maître , je serais obéissant, et je vous assure que vous pourriez être fière de moi".

" Hola ! Mon petit , je ne suis pas sûre que je veuille d'un esclave à temps plein, j'en ai suffisamment comme cela déjà. Mais ton idée m'intéresse, et je vais y réfléchir".

" Il te faudrait me prouver que tu serais à la hauteur, et j'ai bien peur que cela ne soit beaucoup te demander. Je suis très exigeante tu sais, et peu à ce jour, ont réussi à me satisfaire totalement. De plus, je vais bientôt prendre ma retraite, et il se peut que je déménage vers la Floride, et je ne saurais plus quoi faire de toi".

"Par pitié Maîtresse, je vous suivrai partout ou vous irez plutôt que de servir un homme, je me ferai tout petit, et je ne vous causerai pas d'ennuis, je vous le jure, demandez moi n'importe quoi, mais pas cela Madame".

"Hé bien je vais y réfléchir, et je te dirais quelle sera ma décision, si tu te comportes bien et que tu m'écoutes, je serais peut-être plus encline à te prendre à mon service, mais seulement si tu te plies à mes conditions. Bon , il est tard, et je suis fatiguée de cette journée".

Il redescendit au donjon, accompagné de Maîtresse Éloïse, et il entra de lui même dans la cage, elle referma la porte, et pour la première fois , elle passa sa main à travers les barreaux de la cage, et lui caressa et lui flatta le dos, et les fesses tendrement.

Pierre dormit beaucoup mieux cette nuit là. Il prenait goût à sa nouvelle vie d'esclave. Il aimerait vivre sous le joug de cette femme, bien qu'elle soit plus âgée que lui, elle était encore très belle, et Pierre savait qu'elle pourrait le respecter, en étant stricte et exigeante tout à la fois.

Cela pouvait paraître étrange, mais il se sentait confortable à l'idée de devenir l'esclave de cette femme. Bien que sa vie antérieure n'ait pas été si malheureuse, il avait en effet vécu de belles périodes de bonheur. Il ne savait cependant plus , de quelle façon il pourrait recommencer une nouvelle vie, depuis la récente séparation qu'il venait de vivre avec son ancienne conjointe. La compagnie pour laquelle il travaillait ne voudrait sûrement pas le réengager, s'il revenait, car il savait pertinemment qu'ils avaient déjà dût le remplacer. Aussi était-il certain qu'il n'avait plus d'emploi et il se retrouvait donc sans ressources pour le moment.

De plus aspirait-il à un peu moins de responsabilités, car depuis de nombreuses années qu'il subissait le stress de la compétition féroce avec les autres intervenants, et il se sentait blasé de tout cela. Il avait besoin d'un repos moral avant toute chose. L'opportunité qui s'offrait maintenant à lui, lui semblait soudain plus logique, que de se retrouver à nouveau dans l'arène de la vie sociale coutumière. De plus il n'aurait pas à négocier, ni à se battre avec Madame Éloïse, car elle lui semblait en mesure d'imposer et de décider par elle-même, du cheminement de son esclave.

Bien qu'elle soit sévère et dure, Pierre la devinait juste et rationnelle, et cela lui plaisait. Tout ainsi serait très clair entre eux, il obéirait, et elle ordonnerait. Après avoir réfléchit à tout cela , Pierre s'endormit, du sommeil du juste.

Une page venait de se tourner dans la vie de Pierre, il le savait , mais il ne se doutait pas de l'ampleur de ce changement et jusqu'où, cela le mènerait.

Le contrat....

À son réveil, Madame Éloïse s'affairait dans le donjon. Elle l'entendit bouger, et vint le libérer de la cage.

" Bonjour mon esclave ", dit-elle. "As tu bien dormi ?" Moi j'ai réfléchi toute la nuit à ta requête, et je crois que j'ai trouvée la manière de parvenir à nous entendre. Je t'en reparlerai, mais il n'en tiendra qu'à toi de me prouver que tu feras un bon esclave."

" Lorsque je te sentirais prêt, je te le dirai."

" Mais pour l'instant , contente toi de me servir et de m'obéir, et apprends de toutes tes forces à me satisfaire."

Pendant la semaine qui suivit, Pierre exécuta sans dire un mot, les ordres de Madame. Il se comporta en parfait serviteur, et il donna le meilleur de lui-même, pour la satisfaire. Mais un soir, comme elle regardait la télévision dans le salon, et que Pierre était enchaîné dans la cuisine , occupé à préparer le petit déjeuner de Madame pour le lendemain, elle le surprit à se masturber en cachette sans qu 'elle ne lui en ait donné la permission.

Pierre, qui ne l'avait pas entendu arriver, fût confondu de cette malencontreuse initiative. Il savait que Madame n'accepterait jamais que son esclave se comporte ainsi. Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il la vit sourire. Elle retourna au salon sans dire un mot, et oublia semble-t-il cet évènement. Le lendemain matin, à son lever, Madame Éloïse , après qu'elle l'eut libéré de sa cage, ne lui enleva pas sa cagoule immédiatement comme elle avait coutume de le faire.

Elle lui ordonna de se tenir debout sans bouger, les jambes légèrement écartées, puis ses mains s'affairèrent autour de son sexe, sa taille, ses fesses , pendant plusieurs minutes. Puis elle l'amena lui semblait-il au milieu du donjon et lui attacha les mains à une poutre. Il devait se tenir sur la pointe des orteils,car elle lui avait laissé le strict jeu nécessaire pour qu'il ne puisse poser les talons sur le sol. Il ne pouvait voir ce que Madame faisait, mais il sentit la morsure du fouet sur ses fesses. " Voilà , pour hier soir.T ous les jours, pendant vingt jours , tu vas recevoir vingt coups de fouet pour ta punition, cela t'apprendra à te toucher sans ma permission."

"À chaque coup, je veux que tu me remercie et que tu me jure que tu ne le referas plus."

Au deuxième coup Pierre se cabra de douleur, mais il dit quand même, " Maîtresse , je vous remercie de me punir , car je sais que je le mérite, et je vous jure de ne plus jamais me masturber sans votre permission." Un troisième coup , et un quatrième, et ainsi de suite , jusqu'à ce qu'il s'effondre de douleur. Elle le laissa ainsi suspendu pour le restant de l'avant-midi, et elle ne revint le chercher que pour le dîner. Il avait les fesses toutes zébrées, mais Madame Éloïse , fit comme s'il ne s'était rien passé. Il reprit sa routine habituelle, et Madame ne lui en glissa pas un mot.

Le lendemain matin, il reçût à nouveau la fouettée de Madame, et la routine poursuivit son cours. Pendant les vingt jours qui suivirent, il reçût sa punition comme promis , et à chaque fois, il devait demander pardon et promettre de ne plus se toucher sans la permission de Madame. Au fur et à mesure des jours, il tolérait de plus en plus le fouet, mais il pouvait de moins en moins s'asseoir, car ses fesses, ne parvenaient pas à se cicatriser.

Comme elle le lui avait promis, elle cessa la punition, après vingt jours, et ce matin là, elle le laissa dormir plus longtemps que de coutume. Mais au soir du vingt et unième jour, elle le descendit plus tôt que d'habitude, dans le donjon, et lui demanda de s'asseoir sur un petit banc qu'elle avait déposé devant son propre fauteuil.

"Alors , esclave, qu'as tu appris de ta punition?"

Pierre répondit, "Maîtresse, j'ai appris que je ne devais pas toucher à mon sexe sans votre autorisation, sous peine de subir votre colère.".

" C'est bien esclave, je crois tu as bien saisis ce que tu dois faire. Mais vois-tu, je reste dans le doute. Je suis certaine que pour le moment tu penses vraiment ce que tu dis, mais il se peut que plus tard, il ne te revienne des idées et que tu tentes à nouveau en cachette de passer outre à mes ordres, aussi comme je n'aime pas fouetter mon esclave pour rien, je préfère prévenir , plutôt que de guérir. Donc , à partir de maintenant tu vas devoir porter une ceinture de chasteté de façon permanente."

" Je te l'ai commandée sur mesure, et elle vient juste d'arriver. Vas me chercher la boite sur la table là-bas , et ramène moi aussi la petite enveloppe qui est à coté."

Pierre obéit , et ramena le tout à sa Maîtresse.

"Ouvre la boite maintenant." Lui ordonna-t-elle.

Il sortit de la boite, un arsenal de chaîne, et de métal, ainsi que plusieurs autres divers petits paquets de différentes grosseur.

Madame, lui demanda de se retourner, et lui fit ouvrir les jambes. Puis il dut passer les pieds à tour de rôle entre les chaînes de la ceinture. Ensuite, Madame Éloïse fixa à une bande de métal qui devait lui passer entre la raie de ses deux fesses, un gode qui lui entrerait profondément dans l'anus. Elle entra son pénis, dans un tube spécialement conçu à cet effet, et lui remonta la ceinture au dessus de ses hanches, et après s'être assurée que tout était bien positionné, elle ferma le tout avec une clef, sur le devant de la ceinture.

Pierre entendit tourner la clef dans la serrure , et Madame Éloïse, passa la petite clef dans une chaîne, qu'elle passa tranquillement , avec un geste théâtral, autour de son cou. Pierre sentait dans son cul le gode de métal froid et brillant, et il tentât de replacer son pénis inconfortablement positionné entre ses cuisses, mais il ne pouvait ni le toucher, ni même le déplacer.

" Voila, dorénavant je serai certaine que tu ne te masturberas plus sans ma permission,et que peu à peu tu apprendra à contrôler tes pulsions."

"Mais Maîtresse, comment je ferai pour aller aux toilettes."

"Pour uriner, tu n'auras pas de difficultés, car tu n'auras qu'à t'asseoir sur la cuvette comme une femme. Il y à un trou aménagé dans le tube qui retient ton pénis, ce qui te permet de pisser en tout temps. Mais pour déféquer, tu devras venir me demander la permission, car tu ne peux enlever toi-même le gode que je t'ai enfoncé dans le cul."

La ceinture toute d'une pièce interdisait tout accès à ses parties génitales, et lui interdisait même de pouvoir obtenir une érection car celle-ci maintenait son pénis courbé entre ses deux jambes. dans un tube complètement inaccessible et impossible à briser ou à violer.

"Maintenant ,"dit-elle, "ouvre les deux autres paquets."

Pierre obtempéra, et du premier paquet, il sortit un collier de métal chromé, et qui se refermait par une serrure du même type que celle de la ceinture qu'il venait de mettre, et de l'autre il en extirpa deux bracelets du même métal brillant.

" Ceci est mon cadeau." Dit Maîtresse Éloïse, je veux que tu les portes en permanence, pour que tout le monde sache que tu m'appartiens."

"J'y ai fait gravé mon nom , et je veux que tu sois fier de m'appartenir".

"Mais, Maîtresse, " dit Pierre," vous savez bien que je vous appartient corps et âme, déjà."

" Oui Pierre , je le sais, mais je veux que tous le sache aussi."

" Ils sont. très beau Madame, et je vous en remercie, mais je ne pourrai plus sortir de votre résidence ainsi entravé ."

" Bien sûr que tu pourras, tu n'auras qu'à mettre un gilet à col roulé ainsi personne ne pourra remarquer tes nouveaux bijoux. "

"Je les ai fait fabriquer spécialement pour toi, j'espère ne pas être déçue de mon initiative. Je te laisse y réfléchir, encore quelques jours, mais rappelle-toi bien que c'est toi qui m'as supplié de faire de toi mon esclave personnel, et j'entend bien que tu saches que cela comporte des obligations de ta part. "

" Tu as jusqu'à 18h00 vendredi soir pour me donner ta réponse, sinon , je te donne à Maître Jack, et tu ne me verras plus jamais."

" Maintenant tu vas aller réfléchir dans ta cage et ruminer sur ce que je t'offre."

Elle lui remit la cagoule, et le fit entrer dans la cage, mais elle ne lui menotta pas les mains cette fois. puis elle referma à double tour, et lui dit encore une fois.

"Réfléchis bien, mon cher esclave, je ne te ferais pas une autre offre. Bonne nuit."

Pierre dormit peu cette nuit là, et retourna dans sa tête les pour et les contres d'une telle proposition, mais il savait bien tout au fond de lui-même qu 'il accepterait de devenir l'esclave de Madame Éloïse, aussi , comme la nuit souvent porte conseil, il se réveilla le lendemain matin, avec la ferme intention d'accepter l'offre de Maîtresse Éloïse.

Comme il ne pouvait pas voir, à cause de la cagoule sur son visage, et qu'il lui était impossible de l'enlever , car elle était bien cadenassé , il ne pouvait savoir s'il était tôt ou s'il faisait encore nuit Dans sa cage , il perdait à chaque fois la notion du temps. Et comme il parvenait difficilement à bouger, vu l'étroitesse de la cage, il enrageait parfois ,de ne pouvoir sortir et regarder le soleil se lever ou se coucher sur le jour ou la nuit.

Le vendredi matin, Maîtresse, vint le chercher. Elle semblait nerveuse, et irritable, mais elle ne lui manifesta pas ses inquiétudes. Il reprit son service coutumier, et il donna le meilleur de lui même. Ce matin là cependant, Maîtresse Éloïse lui ordonna de lui embrasser les pieds avant de monter au rez de chaussée. Il obéit , un peu surpris de cet ordre, mais il ne se posa plus de questions par la suite. Peu après le dîner, Maîtresse , lui annonçât qu'elle aurait des invités pour le souper, mais qu'il n'aurait pas à servir, car il y aurait d'autres esclaves prévus pour cela.

Elle le descendit au donjon avant que les invités n'arrivent, et lui dit qu'elle reviendrait le chercher, après qu'ils auraient terminé de souper. Comme elle le lui avait promis, elle revint un peu plus tard le chercher, et lui passa de nouveau des chaînes aux chevilles , laissant libre ses poignets elle lui demanda de mettre lui même le collier de posture autour de son cou, et d'y attacher la laisse.

Il suivit sa Maîtresse, et elle le conduisit, à la salle à manger, devant les autres invités. Puis elle lui ordonna de s'agenouiller sur le sol, afin que tous puisse bien le voir, dans la position de soumission, qu'elle lui avait apprise. Il devait écarter un peu les genoux, garder ses mains derrière son dos, baisser les yeux vers le sol, redresser les épaules, et attendre sans bouger.

Maîtresse Éloïse prit la parole.

" Ce soir, chers amis, je vais décider si je prends possession de cet esclave, et si il est digne de me servir."

" Mais auparavant , il va devoir me supplier de le posséder d'en faire ma propriété personnelle." Je vous demande votre aide afin de juger s'il est digne de me servir et si sa demande serait acceptable. "

Il y avait près de dix personnes présentes, et Maîtresse expliqua à tous ( c'étaient des Maîtres et des Maîtresses, sauf les deux femmes qui assuraient le service à la table), que Pierre serait celui qui aurait l'honneur de la servir, et de lui appartenir. Elle relata, les circonstances de leur rencontre, les dressages et ce qu'il avait jusqu'à ce jour subi, et demanda à Pierre de s'adresser aux invités et de les convaincre qu'il serait digne de devenir l'esclave de Maîtresse Éloïse.

" Tu dois convaincre chacun et chacune de tes bonnes intentions, et plaider en ta faveur leur permission. "

"Avance toi , à genoux, et viens leur demander leur approbation."

Pierre , s'approcha du premier, et posa sa tête sur ses bottes, puis il dit, " Maître, je vous supplie de me permettre de servir Maîtresse Éloïse, je serais obéissant, soumis, et je respecterai tous ses désirs et je me ferai un devoir de l'honorer en esclave sincère et loyal." Cela dit, il se déplaça et alla vers une des Maîtresses présente. Puis il réitéra sa demande, et ainsi de suite, jusqu'à la dernière des Maîtresses, qui lui dit sur un ton sans réplique, " je veux bien te croire esclave, mais je les connais moi, les esclaves, ils promettent bien des choses, mais quand vient le temps de donner , et de se soumettre, il changent d'avis et se rebellent."

"Prouve moi que tu es digne de mon amie, ici devant tout le monde."

Pierre ne savait que faire, ,il dit, en bégayant ,

"Que dois-je faire Madame", elle le regarda, et lui dit, "tu vas passer sous la table, et aller prendre dans ta bouche toute les queues que tu verras , et les sucer bien à fond, ensuite tu viendras et tu recrachera le sperme ainsi récupéré dans ce bol ici à coté de moi."

Elle prit un bol à soupe inutilisé et le posa sur le sol à ses pieds.

" Vas-y , maintenant si tu veux finir un jour ", lui ordonna-t-elle.

Elle le poussa de sa botte jusque sous la table, et Pierre chercha du regard un pénis qui surgirait d'un pantalon. Un des Maîtres présent se trémoussa un peu et sortit son sexe de son pantalon de cuir, et commença à se masturber doucement, puis un autre, et un autre encore. Pierre toujours à quatre pattes fit à chacun une fellation et retournait à chaque fois recracher le sperme dans le bol à coté de la Maîtresse en question. Cela lui prit un bonne demi-heure pour parvenir à extraire à chacun sa semence. Lorsqu'il eut enfin terminé ,il revint vers la Maîtresse et attendit son verdict.

"C'est bien esclave, je vais m'assurer que tu es bien sincère". Elle se leva, baissa sa petite culotte de sous sa jupe, et dit à Pierre, "tu vas tenir le bol dans tes mains et je vais pisser dedans, tiens toi bien droit et surtout n'en échappe pas."

Pierre exécuta l'ordre , se mit en position et recueillit l'urine de la femme dans le bol à soupe . Un jet puissant gicla dans le bol et rapidement il fut rempli à raz bord. La Maîtresse cessa d'uriner, et reprit place sur sa chaise.

Elle dit alors, "maintenant tu vas boire ce bol, tout ce qu'il contient, et surtout n'en laisse pas tomber une goutte."

Pierre tenta de regarder sa Maîtresse, et vit qu'elle était d'accord avec son amie, aussi dut-il se résoudre à avaler le mélange malodorant et infect que cette femme lui avait concocté. Lorsqu'il eut bu la mixture, il déposa le plat sur le sol et attendit de nouveau que la Maîtresse exprime son consentement.

" Quant à moi", dit-elle, je n'y vois pas d'inconvénient, et je crois qu'il sera un bon esclave, il vient de me prouver ce dont il est capable, songe tu à lui faire signer un contrat maintenant".

"Oui , on va passer au salon et j'ai préparé le document et les cadeaux sont déja là."

Ils passèrent tous au salon, les invités devant et Pierre qui suivait derrière eux sur les genoux.

Maîtresse Éloïse avait allumé de nombreuses chandelles, qu'elle avait posé sur tous les meubles de la pièce. Cela créait un atmosphère étrange et solennelle tout à la fois.

Elle amena Pierre près du foyer, le feu crépitait derrière lui et lui agaçait les sens. Tous installèrent leur fauteuil en cercle devant lui, et Maîtresse Éloïse prit place en plein centre de cette étrange assemblée. Elle plaça devant elle une table, et déposa sur celle-ci, des documents, une plume, une lame, et un chandelier. Puis elle prit un sceau, posa le collier et les bracelets sur la table, et un des Maîtres dit, d'une voix forte

"Approche maintenant futur esclave."

"Marche à quatre pattes devant ta reine".

"Tu vas répéter après moi."

"MOI, PIERRE ST-CYR, JE JURE DEVANT TOUS CEUX ICI PRÉSENTS, DEVANT DIEU ET DEVANT LA LOI, ICI REPRÉSENTÉE PAR MAÎTRE JULES BOURRET, NOTAIRE, DE SERVIR, D'OBÉIR ET DE ME SOUMETTRE TOTALEMENT, À MADAME ÉLOÏSE DE LASALLE, À TITRE D'ESCLAVE, ET CE, POUR LA VIE."

"JE RECONNAIS, QU'ELLE AURA TOUS LES DROITS, QUE JE DEVRAI ACCEPTER ET SUBIR LES PIRES SÉVICES SI ELLE NE JUGE PAS MON COMPORTEMENT ACCEPTABLE, QU'ELLE SERA SEULE JUGE DE MES ACTES, ET QUE SON EMPRISE SUR MOI SERA TOTALE ET PERMANENTE."

Maître Jules, demanda à Maîtresse Éloïse de se lever, et de poser sa main droite sur ma tête, et lui demanda de répéter après lui.

"MOI , ÉLOÏSE DE LASALLE, JE JURE DEVANT TOUS CEUX ICI PRÉSENTS , DEVANT DIEU ET DEVANT LA LOI, ICI REPRÉSENTÉ PAR MAÎTRE JULES BOURRET, NOTAIRE, DE PROTÉGER, DE POSSÉDER ET DE SUBVENIR AUX BESOINS DE MON ESCLAVE, ET DE VEILLER À CE QU'IL SOIT SOUS MA GARDE ET QU'IL N'AIT PAS À SE SOUCIER DE BESOIN MONÉTAIRE D'AUCUNE MANIÈRE. JE LE DRESSERAI SELON MA VOLONTÉ, ET J'ACCEPTE SON HUMBLE REQUÈTE."

Maître Jules prit la lame, et dit à Pierre, " tends ton bras". Il entailla le poignet de Pierre et versa son sang sur les document sur la table. Puis il fit de même avec le bras de Madame Éloïse. Ensuite il demanda à une des Maîtresse de bien vouloir mettre les bracelets et le collier aux poignets et au cou de Pierre. Ce dernier entendit le "clic" que fit la fermeture, et il sût qu'à compter de maintenant il devenait un esclave pour la vie.

Maître Jules lui tendit la plume, l'encrier, et il signa le document en contrebas des pages. Après, Madame Éloïse contresigna elle aussi et enfin le notaire y apposa un sceau et sa propre signature.

Ceci terminé, Pierre fût enjoint à se prosterner devant sa nouvelle Maîtresse et à lui baiser les pieds en signe de soumission.

Maîtresse Éloïse le releva, et le regarda cette fois dans les yeux, elle approcha son visage du sien, et déposa sur les lèvres de Pierre un baiser langoureux. Puis elle lui murmura à l'oreille, " je vais bien m'occuper de toi, tu m'appartient maintenant, je vais te chérir et te protéger ne t'inquiète plus."

Peu à peu les invités quittèrent leur hôtesse, et la soirée se termina.

Maîtresse Éloïse, demanda à Pierre de venir la retrouver dans sa chambre pour leur première nuit.

Des marques perpétuelles....

Une autre journée, se terminait, et Pierre, achevait de nettoyer la cuisine et de desservir le repas de sa Maîtresse. Cette dernière, avait manifesté le désir de sortir pour la soirée, et avait ordonné à Pierre de lui préparer son bain,et de sortir les vêtements qu'elle porterait pour cette occasion.

Le téléphone sonna et Madame répondit, car Pierre n'avait pas l'autorisation de prendre les appels. Pierre entendit sa Maîtresse, parler à voix basse, et il ne rechercha pas à savoir ce qu'elle disait à son interlocuteur. L'appel terminé, Madame vint voir son esclave et lui annonça, qu'elle l'amènerait avec elle à son rendez-vous.

" Tu vas descendre au donjon, et te préparer,"dit-elle. " Je vais aller te rejoindre, et je te choisirai tes vêtements moi-même."

" Maîtresse, dois-je me laver, auparavant?"

" Tu prends une douche, et tu te laves les cheveux. Ensuite, tu te brosses bien les dents, et tu te rases , si cela est nécessaire, à toi de voir."

"Pendant ce temps, je m'habille."

Pierre fit sa toilette comme Maîtresse Éloïse le lui avait ordonné , et attendit sagement l'arrivée de Madame. Elle portait une jupe de cuir noir, ouverte sur la cuisse, des escarpins de la même couleur , et un bustier serré, qui lui relevait les seins et la poitrine. Par dessus le tout, une blouse de tulle transparent, d'un rouge éclatant, recouvrait ses épaules et son corps. elle avait noué les deux pans de la blouse ensemble devant elle, et avait enfilé de longs gants de latex rouge, eux aussi.

Une longue natte de cheveux derrière la tête et un maquillage, façon théâtre, lui donnait une allure sévère et dure. Une large ceinture de cuir noir , décorée de centaines de rivets argent, venait achever son accoutrement.

" Comment me trouves-tu?" Lui demanda-t-elle.

" Maîtresse, cela vous donne un allure plutôt sévère, mais cela vous va bien," répondit-il poliment.

" À toi , maintenant, voyons ce qui t'irait bien."

Elle se dirigea vers la pièce qui lui servait à garder les équipements, et elle ouvrit un placard, qui contenait une panoplie de vêtements , des plus extravagants au plus contraignants.

" Voilà , ce que tu vas porter."

Elle jeta sur le sol aux pieds de son esclave, un corset de cuir noir, une jupette en paillette dorées, des bas de nylon , des jarretelles, des escarpins avec des talons vertigineux, et une blouse de satin du même rouge tapageur que la sienne. Puis elle lui entra sur son crâne, une perruque blonde toute décoiffée.

"Prends cela , et vas t' habiller, pendant que je vais finir de me préparer. "

" Mais Maîtresse , je ne peux pas mettre cela pour sortir, ce sont des vêtements de femme."

" Figure-toi donc , que je m'en étais aperçue, " répondit-elle d'une voix irritée.

" Pour ce soir tu seras ma petite pute, et c'est ce que j'ai décidé que tu porterais pour cette occasion, et je ne veux plus en entendre parler."

" J'espère que je me suis bien fait comprendre?"

" Oui Maîtresse" répondit Pierre, en baissant la tête.

Il ramassa les vêtements, et alla s'asseoir à même le sol du donjon et s'habilla sans plus dire un mot.

Maîtresse Éloïse, revint vers lui, et lui demanda de se lever.

Elle vérifia si les jarretelles étaient bien installées, lui ajusta la perruque , afin qu'il ait le visage bien dégagé, et lui ordonna de s'asseoir sur une chaise, et avec du rouge pour les lèvres , de la poudre, du mascaras , etc., elle le maquilla outrageusement, elle lui mit un rouge à lèvres provoquant et exagéra sur la poudre, l'ombre et le fard à paupière.

Puis pour terminer, elle lui peignit les ongles avec un cutex rouge. Enfin, elle le parfuma de la tête aux pieds. Elle dit alors." Regarde toi dans la glace, et admire la belle petite putain que tu es devenue."

Pierre se regarda dans le miroir et vit en effet la transformation, et il pâlit de honte. Il revint vers sa Maîtresse, et cette dernière qui l'observait lui dit, " arrête toi là, que je te regarde. Il manque quelque chose, ça ne vas pas. Ha oui ! Je sais, les seins" dit-elle.

" Enlève ta blouse , je vais remédier à cela."

Elle retourna chercher , une brassière, et des prothèses en caoutchouc mousse, et avec lui fixa sur le torse des bandes adhésives, qui fixerait les faux seins sur sa poitrine. Elle lui ordonna de ne pas bouger , pendant toute la durée de l'opération. Ensuite elle vérifia si le tout était bien fixé , et elle lui mit la brassière qui maintiendrait les prothèses bien en place.

" Tu peux remettre ta blouse maintenant."

Cette fois, Pierre ressemblait vraiment à une pute ,et les seins qui pointaient vers l'avant, lui donnaient un air vulgaire et provoquant tout à la fois.

" Enfin," dit Maîtresse Éloïse, tu ferais un tabac, si tu faisais la "main"."

" Va chercher la laisse, mon fouet, prends aussi les menottes et ta cagoule, mets tout cela dans un sac, car il se peut que j'ai à m'en servir."

Ils sortirent de la maison, et pour la première fois Pierre put admirer les environs et apprécier la stature imposante de la résidence de sa Maîtresse. Elle le conduisit au garage situé derrière, et le fit monter dans la voiture et prendre le volant. Elle s'installa derrière et lui dit, " suis mes instructions, je vais te dire ou aller." Il conduisit la voiture , sur une bonne trentaine de kilomètres et Madame lui indiquait la direction à suivre.

Ils arrivèrent devant un entrepôt, aux confins de la ville, dans un secteur abandonné, et Pierre gara la voiture dans un immense stationnement désert. Madame Éloïse sortit la première, contourna la voiture, et fit signe à Pierre de descendre. Elle prit la laisse dans le sac, la fixa au cou de son esclave, et lui dit, " tu vas porter le sac , et marcher derrière moi. " Sous la lueur des réverbères, ils traversèrent le stationnement de l'édifice, jusqu'au portail d'entrée.

Madame Éloïse sonna, et une jeune femme vint leur répondre.

" Est ce que je peux vous aider?" Leur demanda-t-elle.

" Je voudrais voir Monsieur Gilbert."

" Ho ! Le monsieur du troisième, oui je vois," répondit-elle en esquissant un sourire gèné aux deux femmes.

" Je crois qu'il vous attendait."

" Je le crois aussi."

Elle referma la porte, et les précéda jusqu'au troisième et s'arrêta devant une porte d'un des bureau. Elle frappa doucement, et une voix cria, "qu'est ce que c'est?"

" Vous avez des visiteuses monsieur."

" Un instant, j'arrive."

La porte s'ouvrit, et un homme de race noire les invita à entrer. Dans la pièce qui faisait office de vestibule, il y avait plusieurs personnes assises qui attendaient Pierre ne savait quoi. Il y avait entre autre deux filles, à l'habillement un peu bohême, et un couple de punk, vêtus de guenilles colorées. Un paravent séparait le vestibule d'une autre pièce.

L'homme leur indiqua des chaises, et retourna derrière le paravent. Maîtresse Eloïse prit un siège, mais Pierre resta debout , enchaîné par sa laisse, que sa Maîtresse tenait à la main. Les gens les regardaient d'un air étonné , mais personne n fit la moindre remarque. A tour de rôle, les personnes qui étaient arrivées avant eux, passèrent derrière le paravent. Arriva enfin leur tour. Maîtresse se leva, et la jeune fille les escorta jusqu'à une pièce tout au fond de l'appartement.

L'homme noir discuta quelques instants avec Maîtresse Éloïse, et Madame se retira.

"Toi , couche toi sur le ventre sur la table, et ne bouge plus" . Dit-il .

Pierre obéit et se coucha comme indiqué sur une table comme on en voit dans les bureaux de médecins. L'homme revint et lui ordonna d'enlever sa jupe, puis il sortit d'une armoire, un appareil pour tatouer, et mit en marche l'engin. Un grondement inquiètent envahit la pièce.

Il demanda à son assistante de venir l'aider, et il commença à dessiner quelque chose sur la fesse droite de Pierre. Il attendit quelques instants, discutant avec la femme, pendant qu'elle préparait des encres et nettoyait l'appareil.

" Allons -y ", lui dit-il.

Pierre sentit au début une vibration sur sa fesses, mais bientôt une douleur irradia sa fesses, c'était comme si on lui avait passé du papier sablé sur la peau. Cela se poursuivit pendant presque une heure. de temps à autre son assistante essuyait le sang et changeait les aiguilles du graveur.

Lorsqu'il eut terminé, il badigeonna le tatouage avec un tampon, afin de bien nettoyer la plaie. Puis il fit venir Maîtresse Éloïse, pour lui montrer le résultat. Elle examina le dessin, et se montra satisfaite.

" Dans combien de jours est-ce que ce sera guéri?" Demanda-t-elle.

" Il faut attendre une quinzaine de jours avant d'appliquer une autre couche de couleur, revenez dans un mois, et je vais finir le travail."

" On s'en va, rhabille-toi, et va m'attendre dans l'entrée". Lui ordonna-t-elle.

Pierre ne se le fit pas dire deux fois, trop heureux de quitter cet endroit. L'assistante les raccompagna, jusqu'à l'entrée principale, et Pierre suivit sa Maîtresse. Cette fois, elle lui demanda de s'asseoir à l'arrière du véhicule, et elle prit le volant. La douleur sur sa fesse persistait, et il se demandait ce que Maîtresse Éloïse avait bien pu lui faire tatouer. La voiture roulait à vive allure, Maîtresse se dirigea vers le centre-ville. Elle suivit une rue achalandée, et s'arrêta devant une boutique de sexe bien connue.

Ils sortirent de la voiture, et elle dit à Pierre, "attends-moi sur le trottoir, je te ferais signe d'entrer. Pierre aurait aimé disparaître sous le trottoir, tant sa position était embarrassante. Vêtu comme une prostituée juchée sur ses talons, avec cette ridicule perruque blonde sur la tête, et si seulement il n'y avait eu que cela, mais la laisse qui pendait à son cou, ses bracelets et le collier, l'humiliait bien davantage. Tous les passants se retournaient et le regardaient en rigolant.

Il y eut même un homme qui s'approcha de lui, et qui demanda, "combien tu prends ma poulette, pour une heure?" Pierre bégaya quelques mots, et se mit à pleurer. Mais sur ces entre faits, Maîtresse sortit de la boutique, et lui demanda d'y entrer. Une femme le conduisit, par un escalier, à l'étage supérieur, et lui enjoignit de s'asseoir. Maîtresse vint les rejoindre et toutes deux discutèrent, comme de vieilles amies.

" Viens ici Pierre, lui ordonna-t-elle, tournes-toi, et montre ton tatouage."

Son amie examina attentivement le dessin, et toucha la fesse de Pierre, pour voir si c'était bien sensible.

" Il en à pour deux bonnes semaines, avant que ce soit guéri. "

" Oui, c'est ce qu'il m'a dit" . Répondit Maîtresse Éloïse. .

" Que puis-je faire pour toi Éloïse". lui demanda-t-elle.

Maîtresse s'approcha de l'oreille de son amie, et lui murmura quelque chose tout bas.

" Oui , je vois, j'ai ce qu'il te faut, suis moi. "

Elle revint , de l'arrière boutique, avec à la main deux sacs, dont un très lourd, et un second plus petit.

" Combien pour le tout " demanda-t-elle à la femme.

La femme prit la main de Maîtresse, et lui dit, " On discutera de prix une autre fois. Il est tard et je dois fermer, reviens me voir, et on s'entendra sur un prix, disons la semaine prochaine, ça te va ? "

"Oui , d'accord, la semaine prochaine".

Elle donna à Pierre la tâche de porter les sacs jusqu'à la voiture, et le fit à nouveau monter derrière, puis elle retourna vers la maison. Elle ordonna à Pierre de se coucher tout au fond de la voiture, pour la durée du trajet. Il se déshabilla de lui même , devant sa Maîtresse, puis il entra dans sa cage car il se faisait tard. Elle referma la porte de la cage, ou il passa la nuit.

Des bijoux intimes....

Le tatouage de Pierre avait finalement cicatrisé, et Madame Éloïse, lui avait permis de regarder le travail de l'artiste. En fait ce n'était pas vraiment un dessin , mais plutôt un pictogramme. Un genre de blason en forme d'écu, avec le nom de Maîtresse, inscrit à l'encre rouge , dans la partie inférieure.

En plus petite lettres, on pouvait y lire, les mots," JE SUIS UN ESCLAVE ET J'APPARTIENT À MADAME ÉLOÏSE DE LASALLE".

Tout cela était inscrit sur un fond de couleur jaune bordé d'un liséré orangé . Cela était simple, mais très bien exécuté, et sans fioritures. Le texte était bien lisible, et le message clair et explicite. Un fouet était dessiné sous le blason, et la signature de Madame se lisait dans la continuité de la forme imprimé au dessin.

Pierre , ne pouvait admirer le dessin que dans un miroir, et ne pouvait lire correctement les inscriptions, car le dessin lui apparaissait inversé dans la glace.

Madame l'avait marqué à sa propriété et ce, de façon indélébile. Une fierté l'avait envahi, car il savait maintenant qu'elle l'avait enfin accepté comme son esclave, et il en était fier. Quelques semaines plus tard, Maîtresse, le conduisit de nouveau chez le même tatoueur, pour rafraîchir les couleurs du dessin, et améliorer les détails manquants.

Il passa de nouveau sur la table, et cette fois cependant le tatoueur lui attacha les mains et les pieds aux quatre extrémités du meuble. Il l'avait installé sur le dos, entièrement nu , à l'exception de sa ceinture de chasteté.

Pierre ne comprenait pas l'utilité d'une telle mesure, mais Maîtresse Éloïse lui dit de se tenir tranquille. Elle lui mit un bâillon, dans la bouche, et l'homme passa sur son torse une large ceinture de cuir, qu'il fixa fermement de chaque coté de la table, et une autre sous son menton, qui lui retenait la tête bien immobile, et enfin il attacha chacune de ses cuisses solidement en lui écartant les jambes avec des courroies qu'il serra à des attaches aux cotés.

Il devenait impossible pour Pierre de bouger le moindre de ses membres, tant il était solidement fixé. Maîtresse, lui enleva sa ceinture de chasteté et Pierre se sentit tout drôle. En effet il y avait des semaines que son sexe se trouvait confiné dans cet écrin de sûreté, et le simple fait de sentir son sexe manipulé par des mains étrangères, lui amena une érection. L'homme se mit à rire, ainsi que Maîtresse, et cette dernière lui dit, " tu es en manque je crois."

Elle se retourna vers l'homme , et lui demanda , "Penses-tu que j'ai le temps de lui donner un petit plaisir?"

"Bien sûr, prends tout ton temps, j'ai encore bien des choses à préparer auparavant."

" Il y à des papiers mouchoirs dans le tiroir, si tu en à besoin."

Maîtresse saisit le sexe de Pierre, et le masturba jusqu'à ce qu'il ait un orgasme. Il inonda la main de sa Maîtresse, et dans un suprême effort, il parvint à ne pas crier sa jouissance trop bruyamment. Elle essuya le sperme de sa main, lui nettoya le sexe , et le recouvrit d'un drap afin qu'il n'ait pas trop froid. L'homme arriva enfin. Pierre malgré sa posture immobile commençait à s'assoupir. Maîtresse le sortit de sa torpeur, avec deux bonnes claques bien appliquées dans le visage.

" Réveille toi," dit-elle.

"On va passer aux choses sérieuses."

Un bassin sur la table contenait divers outillages et une odeur de désinfectant montait aux narines de Pierre. L 'homme prit le sexe de Pierre dans sa main et l'examina attentivement, puis avec un marqueur au feutre, il y indique des points de repères. Il saisit ensuite une seringue, et enfonça l'aiguille sous les testicules et une autre juste dans le muscles encore flasque de son pénis, et il attendit.

"Ce ne sera pas long , " dit-il , en se retournant vers Maîtresse Éloïse.

En effet, Pierre ne sentit bientôt plus son sexe. Le tatoueur, prit alors une pince, comme un emporte pièce, et perça le sexe de Pierre de part en part de son gland. Cela saignât abondamment, et l'homme épongea le tout jusqu'à ce que le flux ne cesse. Ensuite il se hâta de désinfecter la plaie, et passa un anneau de métal brillant qui trempait dans le bol , dans le trou qu'il venait de percer.

Il referma l'anneau, et un clic sonore se fit entendre. il vérifia à nouveau la solidité de l'anneau ainsi installé, et satisfait de son travail, il dit, "cela sera long à cicatriser, et il faudra que tu le désinfecte tous les jours." Il entortilla un bandage autour du sexe de Pierre, et Maîtresse Éloïse lui remit sa ceinture de chasteté. L' homme qui la regardait faire, dit,"c'est une bonne idée , cette ceinture, comme cela il ne pourra pas toucher à son pénis, et cela vas l'aider à guérir plus rapidement."

"Ok, On va terminer ce pourquoi tu es venue."

Il reprit à nouveau la seringue, et cette fois, il piqua tout autour des mamelons de Pierre. Il injectait de petites quantités d'anesthésiant, pour s'assurer que ses mamelons soient bien insensibles. Il perça chacun des bouts des mamelons, et leur inséra respectivement le même genre d'anneau qu'à son pénis. Pierre ressentit quand même la douleur dans sa chair. L'homme s'empressa de lui insérer les anneaux dans chacune des ouvertures. et il les referma. Maîtresse Éloïse , s'approcha de son esclave, et de sa main droite, elle vérifia elle-même la solidité des anneaux.

" Hé bien je crois, Manius, que tu as fait du bon travail. Je suis satisfaite."

Ils passèrent au petit comptoir,et Maîtresse Éloïse paya le tatoueur. Pierre fut libéré de ses liens, et suivit sa Maîtresse.

"Avant de partir, tu vas remercier Manius pour sa gentillesse envers toi, à genoux, et fais lui une bonne pipe. je pense que c'est la moindre des choses," dit-elle à Pierre .

Pierre s'exécuta et prit le pénis de l'homme dans sa bouche et le suça . Le sexe de l'homme était immense, c'était la première fois que Pierre voyait un pareil engin. Son orgasme lui inonda le visage de sperme, et Pierre reçut un jet brûlant au fond de sa gorge, il faillit s'étouffer, et c'est pour ça que Pierre qui avait retiré le sexe de l'homme de sa bouche, venait d'en recevoir les dernières éclaboussures aux visage. Lorsqu'il eut consommé le sperme de l'homme en sa totalité , comme sa Maîtresse le lui avait ordonné, il attendit près de l'entrée que Manius et Maîtresse Éloïse quittent la boutique.

Maîtresse amena avec elle Manius, jusqu'à la maison. Pierre dût prendre place dans le coffre arrière de la voiture, et y faire le voyage. Maîtresse le libéra de la malle et il les suivit jusqu'à la chambre de sa Maîtresse, et elle l'enchaînà , au pied de son lit, et lui posa un baillon . Peu de temps après, elle et Manius, vinrent se coucher et Maîtresse et l'homme firent l'amour comme des bêtes toute la nuit. Au petit matin, ils se levèrent et Pierre dût de nouveau honorer l'amant de sa Maîtresse. Puis ils redescendirent tous ensemble, et Pierre prépara le déjeuner et le leur servit. Manius quitta Maîtresse Éloïse, et cette dernière le remercia de nouveau pour son bon travail.

"Dans ta cage maintenant, esclave", dit-elle, "je dois sortir et aller me faire coiffer".

Pierre descendit au donjon, et Maîtresse le suivit. Elle le menotta solidement, par les poignets et par les coudes, et lui enfonça un "butt plug" profondément dans l'anus, lui passa une cagoule et lui inséra un gros bâillon entre les dents. Il entra dans sa cage , et Maîtresse referma la grille derrière lui, et barra à double tour. Son pénis et ses seins retrouvaient peu à peu de leur sensibilité et une douleur sourde et profonde envahissait sa chair. Il ne pouvait crier. Il s'enfonça dans un sommeil profond, car la fatigue accumulée de la dernière nuit ,les évènements récents ainsi que ses blessures avaient eu raison de sa résistance physique.

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